Assurément, aucun radin ne devrait négliger de soulever les paupières., lesquelles sont devenues des livres de comptes à deux colonnes laborieusement stylographiées et ponctuées de veines par de vieilles dames qui, étant des employées du Musée, ne font jamais de fautes ! (Même s'il est vrai qu'elles mâchonnent le capuchon de leur stylo après chaque sous-total.)
(Les Filles Heureuses)