Ce furent des jours sans lumière. L’air n’était pas de l’air, il n’y avait pas un souffle qui put remuer la pierre gelée en moi. La lumière était un simple voile jeté sur les choses et qui étouffait tout ce qui se mouvait encore. Un silence qui étouffait au plus profond le moindre mouvement, le plus petit pas dans le vestibule.