La médiatisation de la violence engendre inévitablement le sentiment commun d'une insécurité généralisée dont il a été montré qu'il s'exprimait très fortement là où précisément la violence n'était pas dominante. C'est donc bien l'univers des représentations qui est influencé par les médias, favorisant une sursensibilité à des phénomènes de violence dont la réalité échappe au plus grand nombre.