"La pure beauté horrifiante de sa prose demeure, et ne sera démodée que le jour où les hommes, devenus insensibles, auront détourné leur regard de l’œuvre de Jérôme Bosch.
Ce n'est pour demain".
Joseph Altairac
(extrait de la postface à l'édition parue chez "Coop Breizh en 2002)