Antigone était née pour partager l’amour et non la haine, pour défendre les faibles contre les puissants, pour lutter contre l’injustice, et la voilà condamnée, enfermée, presque morte.
Elle a vécu comme elle l’a voulu, elle s’est battue comme elle l’a voulu, elle a aimé comme elle l’a voulu. Elle ne regrette rien.
Elle veut inventer autre chose, un appel à la lutte, à ne pas se laisser faire, jamais. À écouter son cœur, toujours.
Nombreux sont celles et ceux qui se réclament de son nom et de son « Non ! ».
Peut- être toi, un jour, qui sait ?