J'avais posé la question dont je craignais d'entendre la réponse.Pourtant,aujourd'hui encore j'en reste persuadée,il avait laissé une part de lui-même à Vienne.Il y avait abandonné un terrain fertilisé par des rencontres,une atmosphére:ces cafés où musiciens,philosophes et écrivains se retrouvaient.A Princeton,il côtoyait les plus grands mathématiciens,mais il s'isolait.Il tournait en rond dans son système clos.