La nuit shanghaienne à la fenêtre était enchanteresse. Sur le ciel sombre, des lumières multicolores clignotaient sans cesse comme des myriades d'yeux vifs. Ces yeux noirs et limpides, pourvus de longs cils et surmontés de sourcils d'un noir de jais, se dessinaient sur un visage ovale bordé de cheveux épars, qui de ses fines lèvres rouges me souriait indéfiniment.