Si je dis […] qu’il y a une conscience après la mort, je crains que les enfants dévoués à leurs parents ne se fassent tellement de souci toute la journée pour leurs défunts que leur vie normale n’en soit entravée. Si je dis qu’il n’y a pas de conscience, j’ai peur que ceux qui n’aiment pas leurs parents n’abandonnent leurs cadavres sans même s’occuper de leurs funérailles. Quant à savoir si l’on a encore conscience ou pas après la mort, il te faudra attendre de mourir ; il sera bien assez tôt.