Masaru n'avait rien demandé, mais Tomita se croyait obligé de donner des détails.
- Celle d'aujourd'hui, elle était superstylée, je te dis pas, mais dés le début elle n'arrêtait de gémir et de jouir.
Masaru lui jeta un regard en coin, certain qu'il allait le trouver les bas croisés avec son petit sourire vicieux en coin. Or, au contraire, Tomita racontait son histoire avec le plus grand sérieux. Il y a donc de la conscience professionnelle même chez les maquereaux. C'était une découverte pour Masaru.