« le qualificatif « nuisible » n'a aucun sens écologique ou scientifique, excepté peut-être quand on l'accole au mot « homme ». Seul, notre genre se comporte en prédateur universel. Seul, il vole aux autres organismes la majeure partie des ressources planétaires en énergie, en eau, en nourriture, en refuges, en espace et même en air – puisque non seulement il pollue l'atmosphère, mais il dérègle de façon dramatique, et pour longtemps, les climats du globe.» p .197