Il n’existe guère de solutions au problème de notre surnombre. Stériliser l’espèce n’est pas simple. Nous y travaillons, certes, en répandant dans la nature des produits chimiques (dioxines, PCB, pesticides, métaux lourds…) qui provoquent un effondrement du nombre et de l’ardeur de nos spermatozoïdes : ceux-ci deviennent si rares et si mous de la queue que l’ovule leur demeure une impossible étoile. Nous déversons dans l’environnement des œstrogènes qui provoquent des anomalies génitales chez les garçons et les filles. Mais tout cela est trop lent.