Mon Dieu, pour tous les brûlés de ce monde, pitié. Mon Dieu, pour tous ceux qui ont aimé autre chose que le monde, pour tous ceux qui ont aimé. Pour tous ceux qui avaient quelque chose de vrai à aimer.
Car ils furent un sur mille, et il n'y en eut pas plus de dix mille dans tout le pays, en cent ans.
Et parmi ceux qui les regardaient brûler, personne n'osait dire : "On les a condamnés à tort."