J’avais donc pressenti très tôt que la race noire ne formait pas un groupe uni par l’amour céleste. Il y avait des tensions et des torsions, à l’intérieur comme à l’extérieur. Être noir ne suffisait pas. Il fallait plus qu’une identité de couleur pour que l’amour vous submerge. C’est ainsi que je commençai à trouver la paix.