Nationalité : France
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Biographie :
Zoulikha Haba a grandi à Alger. Dans les années soixante-dix, elle part étudier à Paris puis à Londres. Elle entame, ensuite, une carrière dans le milieu de la finance. Désormais, elle se consacre à l’écriture. C’est l’occasion de faire le point sur son double héritage culturel, entre Orient et Occident.
Son premier roman « Les mouettes noires » a été primé au Prix Fondcombe 2015.
Son deuxième roman « Le fils du Tessala » a été primé au Prix National Lions de Littérature 2017.
Les deux Visages de Nissa paru en 2018, a été réédité sous le titre de Nissa en mars 2021 par Les Mouettes Noires.
Premier Album Jeunesse La Planète Aux Mille Soleils «Le pays de la mamie oubliée » paru en mars 2021 par Les Mouettes Noires.
Zoulikha Haba a grandi à Alger. Dans les années soixante-dix, elle part étudier à Paris puis à Londres. Elle entame, ensuite, une carrière dans le milieu de la finance. Désormais, elle se consacre à l’écriture. C’est l’occasion de faire le point sur son double héritage culturel, entre Orient et Occident.
Son premier roman « Les mouettes noires » a été primé au Prix Fondcombe 2015.
Son deuxième roman « Le fils du Tessala » a été primé au Prix National Lions de Littérature 2017.
Les deux Visages de Nissa paru en 2018, a été réédité sous le titre de Nissa en mars 2021 par Les Mouettes Noires.
Premier Album Jeunesse La Planète Aux Mille Soleils «Le pays de la mamie oubliée » paru en mars 2021 par Les Mouettes Noires.
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Citations et extraits (4)
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Mon père disait qu’à l’époque du prophète Mohamed, ses compagnons voulaient savoir quel était l’acte le plus méritoire pour un bon musulman afin qu’il puisse prétendre au paradis. Il
leur avait répondu que c’était assurément le combat qu’on doit livrer à soi-même, le combat de l’âme.
Il est vrai qu’il n’existe pas de lutte plus difficile, toute une vie n’y suffirait pas.
Alors, je compris qu’il était plus facile pour un homme de jeter un voile sur la tête d’une femme que de combattre ses pulsions ou de vivre avec son époque.
leur avait répondu que c’était assurément le combat qu’on doit livrer à soi-même, le combat de l’âme.
Il est vrai qu’il n’existe pas de lutte plus difficile, toute une vie n’y suffirait pas.
Alors, je compris qu’il était plus facile pour un homme de jeter un voile sur la tête d’une femme que de combattre ses pulsions ou de vivre avec son époque.
« Avoir plus de rêves que la réalité n'en peut détruire » Hans Kruppa.
Il n’y avait de liberté pour personne, la vie était faite de contraintes, de devoirs et de frustrations, malgré toutes les joies, les fêtes et les sorties. C’était si difficile d’avoir son jardin secret,
d’exprimer ses rêves s’ils n’étaient pas les modèles des anciens ! Il n’y avait aucune place à l’individualité, à l’originalité … Que d’énergie et de talents gaspillés !
d’exprimer ses rêves s’ils n’étaient pas les modèles des anciens ! Il n’y avait aucune place à l’individualité, à l’originalité … Que d’énergie et de talents gaspillés !
« Le conte de Peau d'Ane est difficile à croire, - Mais tant que dans le monde on aura des enfants, - Des mères et des mères-grands, - On en gardera la mémoire. Charles Perrault.
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