Nationalité : France
Né(e) à : Alger , le 23/05/1937
Né(e) à : Alger , le 23/05/1937
Biographie :
Élie-Georges Berreby est peintre, écrivain, sculpteur, homme de théâtre.
Son épouse étant diplomate, ils ont vécu dans de nombreux pays, et lorsqu’il découvrit, au Costa Rica, de belles forêts tropicales, il décida de créer des sculptures.
Dans les galeries parisiennes et dans les pays où il a vécu et exposé, ses sculptures de bois et leur version en bronze ont été appréciées autant que ses peintures.
C’est aussi un écrivain, principalement pour le théâtre. Ses pièces sont représentées à Paris et ailleurs.
Il a également publié des romans, en particulier chez Actes Sud, et a obtenu quelques prix littéraires notamment le prix des salons du livre Brive-Montréal, lauréat Festival du Premier Roman pour "L’enfant pied-noir" (1994) où il raconte son enfance.
son site : https://www.berreby.net/
+ Voir plusÉlie-Georges Berreby est peintre, écrivain, sculpteur, homme de théâtre.
Son épouse étant diplomate, ils ont vécu dans de nombreux pays, et lorsqu’il découvrit, au Costa Rica, de belles forêts tropicales, il décida de créer des sculptures.
Dans les galeries parisiennes et dans les pays où il a vécu et exposé, ses sculptures de bois et leur version en bronze ont été appréciées autant que ses peintures.
C’est aussi un écrivain, principalement pour le théâtre. Ses pièces sont représentées à Paris et ailleurs.
Il a également publié des romans, en particulier chez Actes Sud, et a obtenu quelques prix littéraires notamment le prix des salons du livre Brive-Montréal, lauréat Festival du Premier Roman pour "L’enfant pied-noir" (1994) où il raconte son enfance.
son site : https://www.berreby.net/
Source : galerielavantport.com
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Citations et extraits (1)
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(p. 87)
La franche vérité, pour revenir dans mon quartier, cogner sur Arnaud ça valait la peine. Mais j’y suis allé trop fort. Quand la rabia vous prend, on ne peut plus s’arrêter. Ces enfants de savants, ils ne se rendent pas compte que les mots sont des flèches empoisonnées. Ce sont pas des choses qu’on apprend dans les livres. (…) Nous, on sait que, pour éloigner le mal, il faut faire pisser le sang.
La franche vérité, pour revenir dans mon quartier, cogner sur Arnaud ça valait la peine. Mais j’y suis allé trop fort. Quand la rabia vous prend, on ne peut plus s’arrêter. Ces enfants de savants, ils ne se rendent pas compte que les mots sont des flèches empoisonnées. Ce sont pas des choses qu’on apprend dans les livres. (…) Nous, on sait que, pour éloigner le mal, il faut faire pisser le sang.
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