L'opinion était de plus en plus hostile à "l'Autrichienne" et les acclamations se faisaient rares sur son passage. Libelles et chansons la villipendaient. Elle s'obstinait à les imputer à l'esprit des Français : " Leur caractère est bien inconséquent, mais il n'est pas mauvais ; les plumes et les langues disent bien des choses qui ne sont point dans les cœurs ", écrivit-elle à l'impératrice sa mère.