Ce qui me bouleverse vraiment, c'est ce qui est tu et se dit entre les lignes de cette lettre. La souffrance de Lou au cours des repas de famille quand nos enfants se rencontraient. Quel cran avait ma soeur pour faire rigoler tout le monde alors qu'un poignard s'était fiché en son coeur ! Car Lou faisait rire. Avec elle, on pouvait penser que la vie était une éternelle fête. Rien n'était jamais grave.