Les fluctuations de la domestication et de l’élevage modifient sans cesse les animaux. La domestication du néolithique change la pression sélective, désormais plus exercée par l’homme que par la nature.
Au Proche-Orient, les allures sauvages persistent quelques temps. Puis apparaissent des transformations morphologiques, physiologiques, comportementales souvent irrémédiables du fait de la dérive génétique.