Il faisait partie de cette masse d'étudiants hantant les belles bibliothèques parisiennes du matin au soir, l'haleine pourrie de café, abîmés et le corps rempli de poussière. Depuis son entrée à la Sorbonne, Émile n'avait pris ni le temps d'aimer, ni même celui de vivre, trop accaparé par ses études.