On voit des fantômes, des démons, des zombies, des vampires, et une fois que l'on se retrouve seul, on a beau savoir que ce n'étaient que des effets spéciaux, que ce sont des fictions, on garde une tension un peu électrique en soi, on a tendance à regarder plus facilement dans les coins sombres, on prend la peine de refermer la porte entrouverte du placard de la chambre, mais on dort, paisiblement.