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Julie ou la dissolution

"Fête"



Rendez-vous le 28 juillet au bureau 34



"Je les étouffais, je les embrassais."

"J'ai été attiré vers le bureau comme vers une charogne."

"Hasch observait avec une stupeur ravie que les mimiques, les itinéraires, les élans et les reculs de chacun passaient à travers Julie, qui prenait corps de déesse."

"Chaque geste de Mille hachait la connaissance superflue, qui, si "exsangue" qu'elle fût, perdait encore du sang."

"En l'observant de dos, je me suis dit que la fatalité entrait en lui, goutte à goutte."

"Pendant qu'il parlait, Hasch pensait à Julie : que faisait-elle en ce moment ? Il lui semblait l'entendre monologuer, polluer ou rire."



(Au hasard, dans le texte)



Une petite dernière...



"Je me suis rassis, le banc était comme un porc sous mes fesses : aussi rose, aussi tendre, aussi sale."
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Par fil spécial : Carnet d'un secrétaire de rédac..

André Baillon racone son travail au sein d'un journal. Le livre est surprenant par son style. Il n'y a pas vraiment d'histoire, mais plutôt des clichés sur des scènes se passant au sein de la rédacation du journal.



La postface par Michel Grodentest très intéressantes car elle éclaire l'oeuvre sur son aspect biographique et nous donne des informations sur la personalité de l'auteur.
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Les contes du whisky

Et si sous le pseudonyme bien trouvé de Jean Ray se cachait en réalité Johnny O’Raygan, un compatriote de Samuel Beckett nourri aux nouvelles fantastiques d’Edgar Poe et aux fairytales de sa grand-mère ? Ça n’aurait rien d’étonnant tant ces contes du whisky respirent à pleins poumons la campagne embrumée de Galway ou les ruelles fiévreuses de Dublin, et les heures qui s’égrènent de plus en plus lentement, passé minuit, alors que les bouteilles de whisky vides s’entassent dans un coin de la pièce chauffée au feu de bois où un vieil ivrogne qui prétend s’appeler Jean Ray débite sans vergogne ses histoires à mourir debout.
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