Livres populaires
voir plus
Dernières critiques
Rappelons que les éditions Librécrit sont nées d'une attitude refusant l'apologie de la marchandisation intrinsèque des livres sans en saisir le contenu, du refus d'un consensus mou adopté par certaines nécessités ainsi que de la bêtise et l'imbécillité.
Elles sont basées sur la liberté mais aussi l'insoumission au conformisme du confort. C'est une maison d'édition libre et qui le revendique mais rejette l'exclusion, la mauvaise foi, la diffamation.
Certains textes de Gérard Gaillaguet sont donc sarcastiques. Nous pouvons prendre l'exemple du " rap de l'insécurité social " qui remet en cause l'absence de politique efficace pour faire disparaitre certains malheurs sociaux.
D'autres sont caustiques. Nous pouvons prendre l'exemple de " l'imposture ". Il écrit :
" Sous les postures
Elle affleure
Elle fait peur
Elle fait peur
L'imposture "
Il nous emmène donc suivant l'esprit de sa maison d'édition " grinçant, insoumis " sur un chemin qui réclame de séparer le vrai et l'apparence. Son propos nous demande de convertir notre regard pour voir les choses autrement.
En même temps il nous demande de garder vivante une flamme, celle de l'espérance et des choses qui peuvent contre le goût du malheur pousser à défendre des forces de vie fertiles.
Il interroge notre façon de vivre et nous appelle à faire un retour sur nous-mêmes pour devenir plus perspicaces.
Le livre s'acquiert avec un Cd donnant ainsi élan au concept de disco-texte. L'auteur dit en effet lui-même ses textes d'une voix qui touche pour démasquer les faux-semblants.
La maîtrise de la diction est évidente et fait rayonner un verbe qui pousse à dépasser les fatalités de déterminisme sociaux. On y trouve de belles réparties. L'ensemble fait penser à la tonalité de Pierre Desproges en son temps et met en avant une aisance à jouer avec les mots. Une belle découverte.
Elles sont basées sur la liberté mais aussi l'insoumission au conformisme du confort. C'est une maison d'édition libre et qui le revendique mais rejette l'exclusion, la mauvaise foi, la diffamation.
Certains textes de Gérard Gaillaguet sont donc sarcastiques. Nous pouvons prendre l'exemple du " rap de l'insécurité social " qui remet en cause l'absence de politique efficace pour faire disparaitre certains malheurs sociaux.
D'autres sont caustiques. Nous pouvons prendre l'exemple de " l'imposture ". Il écrit :
" Sous les postures
Elle affleure
Elle fait peur
Elle fait peur
L'imposture "
Il nous emmène donc suivant l'esprit de sa maison d'édition " grinçant, insoumis " sur un chemin qui réclame de séparer le vrai et l'apparence. Son propos nous demande de convertir notre regard pour voir les choses autrement.
En même temps il nous demande de garder vivante une flamme, celle de l'espérance et des choses qui peuvent contre le goût du malheur pousser à défendre des forces de vie fertiles.
Il interroge notre façon de vivre et nous appelle à faire un retour sur nous-mêmes pour devenir plus perspicaces.
Le livre s'acquiert avec un Cd donnant ainsi élan au concept de disco-texte. L'auteur dit en effet lui-même ses textes d'une voix qui touche pour démasquer les faux-semblants.
La maîtrise de la diction est évidente et fait rayonner un verbe qui pousse à dépasser les fatalités de déterminisme sociaux. On y trouve de belles réparties. L'ensemble fait penser à la tonalité de Pierre Desproges en son temps et met en avant une aisance à jouer avec les mots. Une belle découverte.
Etiquettes
voir plus