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Ce livre est une ronde poétique.
Un "branle" plutôt, puisqu'il va se danser au château où messire Hugues s'apprête à marier sa fille Anne avec le chevalier Renaud.
Deux cavaliers apparaissent.
Deux ménestrels du XVème siècle, leurs instruments passés en bandoulière.
Gilles et Dominique sont les envoyés du diable.
Car le diable, en ces temps reculés, est encore un personnage qui a conservé toute sa puissance, et son bon plaisir, cette fois, est de se servir de l'amour comme une arme.
Ce livre est le "branle" du diable ...
Jacques Prévert et Pierre Laroche ont théâtralisé le scénario du film.
Pour Pierre Mac Orlan, qui a signé la préface de l'ouvrage, "Les visiteurs du soir" sont nés du livre et de l'image.
Pour Kléber Haedens, ils sont une légende du Moyen-Age, à mi-chemin entre les souvenirs de l'Histoire et la dangereuse féérie du diable.
Pour Barjavel, "Les visiteurs du soir" sont un de ces plaisirs assez rares où participent à la fois l'intelligence et les sens.
Ce livre a été publié en 1947.
Il contient 20 photographies choisies par Marcel Carné, ainsi que quelques critiques de l'époque signées par René Barjavel, Audiberti, Roger-Marc Thérond, Kléber Haedens, Roger Regent et Jean Delajoie.
Le diable prétend qu'a tort celui qui attache trop d'importance à toutes ces petites histoires, qu'elles sont vieilles comme le monde, et abîmées comme lui.
Pouvait-il prévoir que la lente poésie des mots de Prévert viendrait interrompre sa danse ? ...
Un "branle" plutôt, puisqu'il va se danser au château où messire Hugues s'apprête à marier sa fille Anne avec le chevalier Renaud.
Deux cavaliers apparaissent.
Deux ménestrels du XVème siècle, leurs instruments passés en bandoulière.
Gilles et Dominique sont les envoyés du diable.
Car le diable, en ces temps reculés, est encore un personnage qui a conservé toute sa puissance, et son bon plaisir, cette fois, est de se servir de l'amour comme une arme.
Ce livre est le "branle" du diable ...
Jacques Prévert et Pierre Laroche ont théâtralisé le scénario du film.
Pour Pierre Mac Orlan, qui a signé la préface de l'ouvrage, "Les visiteurs du soir" sont nés du livre et de l'image.
Pour Kléber Haedens, ils sont une légende du Moyen-Age, à mi-chemin entre les souvenirs de l'Histoire et la dangereuse féérie du diable.
Pour Barjavel, "Les visiteurs du soir" sont un de ces plaisirs assez rares où participent à la fois l'intelligence et les sens.
Ce livre a été publié en 1947.
Il contient 20 photographies choisies par Marcel Carné, ainsi que quelques critiques de l'époque signées par René Barjavel, Audiberti, Roger-Marc Thérond, Kléber Haedens, Roger Regent et Jean Delajoie.
Le diable prétend qu'a tort celui qui attache trop d'importance à toutes ces petites histoires, qu'elles sont vieilles comme le monde, et abîmées comme lui.
Pouvait-il prévoir que la lente poésie des mots de Prévert viendrait interrompre sa danse ? ...