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C'est l'histoire d'un père malade, d'une mère mal aimé.
De vouloir avoir lu un livre au lieu de l'avoir écrit.
Le livre explore des thèmes complexes tels que la maladie d'Alzheimer, la culpabilité associée et les relations familiales difficiles, notamment avec une mère mal aimante. Ces sujets offrent une perspective émotionnelle et introspective, permettant de réfléchir sur la nature humaine et les relations familiales.
Sensationnelle, émouvant. Cru.
120 pages de petits paragraphes violents. À lire 2 fois.
De vouloir avoir lu un livre au lieu de l'avoir écrit.
Le livre explore des thèmes complexes tels que la maladie d'Alzheimer, la culpabilité associée et les relations familiales difficiles, notamment avec une mère mal aimante. Ces sujets offrent une perspective émotionnelle et introspective, permettant de réfléchir sur la nature humaine et les relations familiales.
Sensationnelle, émouvant. Cru.
120 pages de petits paragraphes violents. À lire 2 fois.
Ce livre fort original, féministe et plus que jamais d’actualité m’a fait passé un fort bin moment. Tout au long du récit, le suspense augmente graduellement puisque Marilyn, justicière et tueuse à gages qui tente d’avoir une vie normale d’étudiante à l’université brûle littéralement la chandelle par les deux bouts. Il est évident qu’elle ne pourra pas faire cohabiter ses deux occupations très longtemps. Prise dans un profond dilemme éthique, elle est elle même très lucide par rapport à ça et offre tout au long du roman de grandes et précieuses réflexions sur le sens de la vie, de la violence, mais de la justice surtout.
Les personnages sont attachants et, bien qu’il s’inspire des Comic Books, le roman garde un cachet réaliste du début à la fin. Peut-être côtoyons nous des Marilyn au quotidien? Peut-être que c’est ce que ça prend pour avoir une vraie justice?
Un bon premier roman pour l’auteure Myriam Vincent et j’entame à l’instant son tout nouveau « À la maison ».
Les personnages sont attachants et, bien qu’il s’inspire des Comic Books, le roman garde un cachet réaliste du début à la fin. Peut-être côtoyons nous des Marilyn au quotidien? Peut-être que c’est ce que ça prend pour avoir une vraie justice?
Un bon premier roman pour l’auteure Myriam Vincent et j’entame à l’instant son tout nouveau « À la maison ».
Dans ce roman, on suit Marylin, étudiante en littérature le jour et tueuse à gages la nuit. Telle une justicière, celle-ci exécute des hommes ayant commis des crimes sexuels afin de venger le viol et suicide de sa grande amie.
Sur fond d’un comicbook, le roman alterne entre les séquences du viol de Julie, les exécutions de Marilyn, ses questionnements face à ses actes, à son avenir, ses désirs et à concilier sa vie sociale d’étudiante et celle de tueuse. Mais est-ce possible ?
Un premier roman courageux, féministe dénonçant les violences faites aux femmes mais également les difficultés à obtenir justice dans de telles situations.
J’ai été quelque peu dérangée par l’écriture de l’auteure, en début de lecture. J’ai donc mis du temps à me plonger dans l’histoire de Marilyn, qui, au final, m’a offert une lecture tout de même plutôt agréable.
Sur fond d’un comicbook, le roman alterne entre les séquences du viol de Julie, les exécutions de Marilyn, ses questionnements face à ses actes, à son avenir, ses désirs et à concilier sa vie sociale d’étudiante et celle de tueuse. Mais est-ce possible ?
Un premier roman courageux, féministe dénonçant les violences faites aux femmes mais également les difficultés à obtenir justice dans de telles situations.
J’ai été quelque peu dérangée par l’écriture de l’auteure, en début de lecture. J’ai donc mis du temps à me plonger dans l’histoire de Marilyn, qui, au final, m’a offert une lecture tout de même plutôt agréable.
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