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Les intrigues religieuses peuvent devenir très intéressantes dans un récit. Les auteurs Germain Paris et Florence Dell Aiera l’ont tenté avec le bouquin de 443 pages « Le Livre défendu » paru chez « Morey Éditions » en 2012.
La théologie peut être délicate à aborder en littérature. Certaines personnes y arrivent comme Dan Brown avec « Le Code Da Vinci » qui a fait fureur et fut un best-seller partout à travers le monde. Par contre, ce n’est pas toutes les oeuvres qui mêlent la bonne dose d’action et de théorie.
Lorsque j’ai vu le résumé, j’ai tout de suite sauté sur l’occasion. Les conspirations, les fuites et les intrigues religieuses me plaisent bien. Malheureusement, ce bouquin-ci n’a pas réussi à combler les attentes qu’il m’eût donné avec le condensé. Il m’a été difficile de terminer l’ouvrage. Je vous démontre pourquoi dans les prochains paragraphes.
Lorsque nous sommes néophytes dans un domaine, il est bien d’avancer tranquillement pour nous transmettre les détails. Ici, on y va pas de main morte sur les théories et la théologie. En fait, nous sommes carrément submergés par d’innombrables explications. C’est ce qui a heurté le plus le roman. Ce flot déchaîné de notions nous perd et nous décrochons à plusieurs reprises. L’histoire de la religion est importante dans le contexte du récit, mais beaucoup d’éléments auraient tout simplement pu être mis de côté.
De plus, les personnages semblent réagir d’une manière extrême à des choses qui ne nous touche pas vraiment. Ils reçoivent donc les informations en même temps que nous, par contre, nous ne partageons pas leurs sentiments. On leur explique les raisons et la façon qu’un document s’est rendu à un tel endroit. Les clarifications bifurquent tant qu’on ne réussit pas à suivre l’idée de départ. Les protagonistes semblent tout saisir du premier coup, heureusement pour eux. Peut-être nous faire le récit en plusieurs tômes aurait grandement aidé?
On y décèle aussi un vague sentiment de paranoïa conspirationniste. Vous savez? Le 11 septembre est causé par les Américains, le Vatican veut conquérir la planète, le Nouvel Ordre mondial, les templiers, toutes ces choses…. Pas trop pour moi, merci. La recherche des auteurs est superbe, on le sent bien. On comprend qu’il y a un énorme travail derrière toutes ces théories, mais ça ne m’a pas atteint. De plus, à la question : Qui était vraiment le Christ posé dans le résumé? Je n’y ai pas trouvé la réponse ou bien elle n’était pas assez claire.
Finalement,
Si vous appréciez les notions de conspirations, ce livre sera pour vous. Sinon, vous aurez de la difficulté à bien apprécié l’oeuvre. 2 sur 10.
On aime : les travaux de recherche des auteurs
On n’aime pas : les longueurs, les explications laborieuses, les théories conspirationnistes
Lien : http://www.sergeleonard.net/..
La théologie peut être délicate à aborder en littérature. Certaines personnes y arrivent comme Dan Brown avec « Le Code Da Vinci » qui a fait fureur et fut un best-seller partout à travers le monde. Par contre, ce n’est pas toutes les oeuvres qui mêlent la bonne dose d’action et de théorie.
Lorsque j’ai vu le résumé, j’ai tout de suite sauté sur l’occasion. Les conspirations, les fuites et les intrigues religieuses me plaisent bien. Malheureusement, ce bouquin-ci n’a pas réussi à combler les attentes qu’il m’eût donné avec le condensé. Il m’a été difficile de terminer l’ouvrage. Je vous démontre pourquoi dans les prochains paragraphes.
Lorsque nous sommes néophytes dans un domaine, il est bien d’avancer tranquillement pour nous transmettre les détails. Ici, on y va pas de main morte sur les théories et la théologie. En fait, nous sommes carrément submergés par d’innombrables explications. C’est ce qui a heurté le plus le roman. Ce flot déchaîné de notions nous perd et nous décrochons à plusieurs reprises. L’histoire de la religion est importante dans le contexte du récit, mais beaucoup d’éléments auraient tout simplement pu être mis de côté.
De plus, les personnages semblent réagir d’une manière extrême à des choses qui ne nous touche pas vraiment. Ils reçoivent donc les informations en même temps que nous, par contre, nous ne partageons pas leurs sentiments. On leur explique les raisons et la façon qu’un document s’est rendu à un tel endroit. Les clarifications bifurquent tant qu’on ne réussit pas à suivre l’idée de départ. Les protagonistes semblent tout saisir du premier coup, heureusement pour eux. Peut-être nous faire le récit en plusieurs tômes aurait grandement aidé?
On y décèle aussi un vague sentiment de paranoïa conspirationniste. Vous savez? Le 11 septembre est causé par les Américains, le Vatican veut conquérir la planète, le Nouvel Ordre mondial, les templiers, toutes ces choses…. Pas trop pour moi, merci. La recherche des auteurs est superbe, on le sent bien. On comprend qu’il y a un énorme travail derrière toutes ces théories, mais ça ne m’a pas atteint. De plus, à la question : Qui était vraiment le Christ posé dans le résumé? Je n’y ai pas trouvé la réponse ou bien elle n’était pas assez claire.
Finalement,
Si vous appréciez les notions de conspirations, ce livre sera pour vous. Sinon, vous aurez de la difficulté à bien apprécié l’oeuvre. 2 sur 10.
On aime : les travaux de recherche des auteurs
On n’aime pas : les longueurs, les explications laborieuses, les théories conspirationnistes
Lien : http://www.sergeleonard.net/..
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