Doux et âpre, ce roman est un hymne au Liban, à ce pays douloureusement marqué par la violence. Deux voix se répondent, celle d'un père et celle de sa fille. La plume est poétique, éthérée, elle n'évite pas les répétitions mais les choie, tout comme elle s'enroule autour d'anaphores, tisse sa mélodie grâce à elles. Poème en prose, vers pulsant d'une tendre amertume,
Mauvaises herbes fut un vrai coup de coeur (plus d'infos : https://pamolico.wordpress.com/2020/10/03/
mauvaises-herbes-dima-abdallah/)
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