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Critique de RChris


"Seul", quatre lettres pour un titre qui claque comme l'image de couverture d'un frêle esquif dans un océan déchaîné. Parce que l'Atlantique, c'était fait, alors Gérard D'Aboville tentera le Pacifique, toujours à la rame. le Sector faisait quand même 8 mètres de long mais que de chavirements ! le rameur affrontera des conditions à ne pas mettre un bateau dehors ; il en résultera entre autres deux côtes et un doigt cassés, sans oublier des furoncles mal placés.

Tout au long du récit la question du "pourquoi s'imposer un tel supplice ?" revient, pour se dépasser, toucher ses limites, pour "la plus grande jouissance qu'un homme puisse connaître : la victoire sur soi-même" nous dira le narrateur.

J'ai lu ce récit d'une traite, il faut dire qu'il était difficile d'abandonner d'Aboville dans le Pacifique pour s'enfoncer dans un doux sommeil alors qu'il n'avait pas encore atteint les U.S.A. !
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