AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Neurot


Le vaisseau spatial Coeur-en-Or qui contient nos amis Arthur Dent et Trillian, les deux derniers survivants de la Terre, l'ancien président de la galaxie en fuite Zaphod, l'astrostoppeur Ford Perfect et Marvin l'androïde dépressif, est en péril. Les Vogons l'ont trouvé et veulent le détruire pour le compte d'un mystérieux psychanalyste qui ne veut surtout pas qu'on découvre le sens de la vie, de la mort, et de tout le reste, ce qui ferait grand mal à sa profession. Les Vogons donc font feu sur nos amis, et malheureusement, le Coeur-en-Or se trouve dans l'incapacité de réagir à cause d'Arthur Dent qui a involontairement fait utiliser toutes les ressources du vaisseaux pour... lui faire un thé convenable. Pas de panique, ce n'est que le début de l'incroyable aventure qui attend nos amis aux confins des étoiles et de l'absurde dans ce 2ème Tome du ''Guide du Voyageur galactique.''

Comme le montre ce petit résumé de la situation initial du récit, le coté dingo du premier volume est loin d'avoir disparu ici. Première chose qui surprend c'est l'importance que prend Zaphod, surtout dans la première partie du livre. Les 100 première pages lui sont intégralement consacrés, lui et la quête de son ancienne personnalité pour trouver le vrai Maître de l'Univers, qui donnera un résultat plutôt... inattendu. L'humour et l'absurde sont toujours omniprésents, tout comme les idées délirantes mais cohérentes dans l'univers absurde imaginé par Douglas Adams. Comme par exemple ce restaurant qui se trouve à quelques heures de la fin du monde et qui donne son titre à ce livre. La narration est toujours très énergique et très inventive. L'intrigue principale part dans tous les sens, un peu trop par moment, devenant confuse parfois, plus encore que dans le premier livre. Les gags eux, toujours aussi absurdes, sont encore très réussis ici.

Un poil moins réussi que le premier tome car un peu moins constant dans sa qualité et un peu plus confus dans sa narration, mais toujours aussi drôle, délirant, énergique, inventif. Un vrai remède à la mélancolie.
Commenter  J’apprécie          90



Ont apprécié cette critique (9)voir plus




{* *}