Un vrai Micmac digne de Novarina !
Ça s'enchaîne comme une mécanique bien huilée, ça s'emballe, il y a des à-coups mais ça s'articule toujours bien.
On lit un flot ininterrompu de pensées et de divagations d'un protagoniste qui assemble et désassemble des mots, des machines, des idées. La machine s'enraye pour repartir à 1000 à l'heure. Et si c'est quelque chose à lire... c'est une sacrée expérience de dire ce texte : à voix haute, la machine humaine est encore plus présente.
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