Les premières pages assez « romance » prennent vite une giclée de Destop en pleines pages, et le roman prend alors des odeurs de conte sociologique décapant, caustique et hilarant. La société, la politique, la famille sont rattrapées par une autrice décidée à balancer toutes les vérités et évidences, n'en déplaise à celles et ceux dont le politiquement correct s'apparente à un mantra.
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