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Critique de LABailey
Retour sur À Fleur de peau, d'@alexia Hoffmann-Surin.
Pour changer, je ne vous parlerai pas de meurtres, de tueurs en série ou de sociopathes.
La plupart des gens qui me connaissent vous diront que je ne lis pas de romance ou très peu.
Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. Au moment même où j'écris ses lignes je m'apprête à célébrer ma dix-huitième année au côté du même homme (Roy, love of my life ❤️), la preuve que j'ai un coeur et des sentiments. Ben oui, Caroline, surtout ne t'etouffe pas en lisant ces lignes 😁.
Sans compter que l'amour sous toutes ses formes est le moteur du monde (des autres, purement egocentrique, inconditionnel, passionnel, fusionnel, de l'argent, du pouvoir et...du chocolat).
Madame le Juge, je plaide coupable. J'ai non seulement lu une romance et je l'ai même énormément appréciée.
I. le délit : Passion ou raison ?
Antonia, mère et épouse, ne se reconnaît plus dans son mariage. Femme volage ? Pas du tout. Au contraire, il s'agit d'une femme de principes, au caractère fort. Parfois la vie nous réserve des surprises, celle d'Antonia s'appelle Damien. La jeune femme écoutera-t-elle ce que dicte la raison ou suivra-t-elle les élans de son coeurs ?
Une histoire d'amour ? Bien plus, des choix cornéliens. le Damien en question est plus proche de Dom Juan que du gentil Prince Charmant.
II. L'arme du crime : quand des personnages sont bons, tout est bon.
Un bon roman repose en partie sur la qualité de ses personnages et je vais passer pour la lectrice/auteure sadique, les meilleurs sont souvent les plus torturés. Personne n'est parfait. Nous avons tous des défauts et des blessures qui nous rendent uniques.
Ceux d'Alexia sont tourmentés par leurs principes et leurs désirs, tiraillés entre la sécurité et la prise de risques, le confort de l'habitude et les conséquences de leurs choix.
Je me suis attachée à eux et j'ai eu de la sympathie pour tout le monde, à l'exception de Nathalie et Géraldine (dans un de mes romans, c'est avec plaisir que je laisserai le tueur en série s'occuper d'elles).
L'évolution des sentiments entre Antonia et Damien est très réaliste; d'amants, ils deviennent âmes-soeurs au fil des pages. Les scènes intimes ne sont jamais gratuites ni vulgaires ou "mécaniques".
Enfin, j'ai adoré la construction de la fin. La petite mise en scène m'a fait sourire. Ceux qui lisent mes chroniques savent que je suis une grande adepte du fond et de la forme.
Le roman nous dit bien que nous avons tous le choix de vivre nos vies où d'être comme nous l'entendons, même si ce n'est jamais facile et qu'il faut accepter les conséquences.
Notre liberté est notre plus beau cadeau et notre malédiction.
Pour ma part, je considère ceci comme un message d'espoir.
III. Verdict : un agréable moment de lecture.
J'ai beaucoup aimé cette lecture en dehors de ma zone de confort et je la recommande. Un livre à l'image de son auteure Alexia/Tonia : entier et vrai.
Pour changer, je ne vous parlerai pas de meurtres, de tueurs en série ou de sociopathes.
La plupart des gens qui me connaissent vous diront que je ne lis pas de romance ou très peu.
Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. Au moment même où j'écris ses lignes je m'apprête à célébrer ma dix-huitième année au côté du même homme (Roy, love of my life ❤️), la preuve que j'ai un coeur et des sentiments. Ben oui, Caroline, surtout ne t'etouffe pas en lisant ces lignes 😁.
Sans compter que l'amour sous toutes ses formes est le moteur du monde (des autres, purement egocentrique, inconditionnel, passionnel, fusionnel, de l'argent, du pouvoir et...du chocolat).
Madame le Juge, je plaide coupable. J'ai non seulement lu une romance et je l'ai même énormément appréciée.
I. le délit : Passion ou raison ?
Antonia, mère et épouse, ne se reconnaît plus dans son mariage. Femme volage ? Pas du tout. Au contraire, il s'agit d'une femme de principes, au caractère fort. Parfois la vie nous réserve des surprises, celle d'Antonia s'appelle Damien. La jeune femme écoutera-t-elle ce que dicte la raison ou suivra-t-elle les élans de son coeurs ?
Une histoire d'amour ? Bien plus, des choix cornéliens. le Damien en question est plus proche de Dom Juan que du gentil Prince Charmant.
II. L'arme du crime : quand des personnages sont bons, tout est bon.
Un bon roman repose en partie sur la qualité de ses personnages et je vais passer pour la lectrice/auteure sadique, les meilleurs sont souvent les plus torturés. Personne n'est parfait. Nous avons tous des défauts et des blessures qui nous rendent uniques.
Ceux d'Alexia sont tourmentés par leurs principes et leurs désirs, tiraillés entre la sécurité et la prise de risques, le confort de l'habitude et les conséquences de leurs choix.
Je me suis attachée à eux et j'ai eu de la sympathie pour tout le monde, à l'exception de Nathalie et Géraldine (dans un de mes romans, c'est avec plaisir que je laisserai le tueur en série s'occuper d'elles).
L'évolution des sentiments entre Antonia et Damien est très réaliste; d'amants, ils deviennent âmes-soeurs au fil des pages. Les scènes intimes ne sont jamais gratuites ni vulgaires ou "mécaniques".
Enfin, j'ai adoré la construction de la fin. La petite mise en scène m'a fait sourire. Ceux qui lisent mes chroniques savent que je suis une grande adepte du fond et de la forme.
Le roman nous dit bien que nous avons tous le choix de vivre nos vies où d'être comme nous l'entendons, même si ce n'est jamais facile et qu'il faut accepter les conséquences.
Notre liberté est notre plus beau cadeau et notre malédiction.
Pour ma part, je considère ceci comme un message d'espoir.
III. Verdict : un agréable moment de lecture.
J'ai beaucoup aimé cette lecture en dehors de ma zone de confort et je la recommande. Un livre à l'image de son auteure Alexia/Tonia : entier et vrai.
