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Critique de Marmoutre
D'habitude assez tranché dans mes avis, je dois reconnaître que ce livre me laisse assez perplexe, et ambivalente. Je ne peux pas dire avec certitude que j'ai aimé ce roman, ni d'ailleurs que ce soit un roman classé romance, ou encore que j'ai détesté ma lecture. On sent par contre, que l'auteur se cherche et n'a pas encore affiné ses choix en terme d'écriture.
Il s'agit à la base d'une histoire assez sombre, qui remue un peu la boue que peut générer l'être humain, allant de sordide en plus sordide. Les évènements s'enchaînent au fur et à mesure, allant de pire en pire, sans trace d'un espoir quelconque. Mais, je ne suis pas facilement heurtable, et je sais encaisser ce que peut faire naître ce genre de lecture. Mon soucis avec ce roman ne se situe pas là.
Par contre, mon problème se situe sur le mode de communication du héros principal (qui parfois parle, parfois pas, avec certaines personnes seulement puis finalement avec d'autres ensuite ne reparle plus, sans oublier sa voix interne et ses cauchemars nocturnes) cela fait énormément d'obstacles à la lecture et à la fluidité. Au bout d'un moment, ça devient trop, et on se rend compte qu'en essayant de maintenir un semblant de suspens, l'auteur se perd mais nous perd aussi.
Je n'avais pas vu non plus, qu'il s'agissait d'une trilogie, j'ai fait cet achat de manière impulsive après lecture du résumé. Mais quand au terme du premier tome, qui est quand même une petite brique, on se rend compte qu'il va falloir avaler deux autres volumes pour connaître l'épilogue, on se dit que finalement, on a peut-être pas envie d'aller aussi loin.
Je n'ai pas spécialement accroché avec les deux héros, ils sont trop bipolaires et beaucoup trop stéréotypés. J'ai apprécié le personnage du "dirlo" mais son intervention reste très limitée. Je le voyais un peu comme un sauveur, qu'il n'est finalement pas.
Bref, je dirais simplement que tout n'est pas à jeter dans ce roman, il y a de bonnes idées, des échanges intéressants mais pour moi, il manque d'espoir, d'empathie, et de spontanéité.
Il s'agit à la base d'une histoire assez sombre, qui remue un peu la boue que peut générer l'être humain, allant de sordide en plus sordide. Les évènements s'enchaînent au fur et à mesure, allant de pire en pire, sans trace d'un espoir quelconque. Mais, je ne suis pas facilement heurtable, et je sais encaisser ce que peut faire naître ce genre de lecture. Mon soucis avec ce roman ne se situe pas là.
Par contre, mon problème se situe sur le mode de communication du héros principal (qui parfois parle, parfois pas, avec certaines personnes seulement puis finalement avec d'autres ensuite ne reparle plus, sans oublier sa voix interne et ses cauchemars nocturnes) cela fait énormément d'obstacles à la lecture et à la fluidité. Au bout d'un moment, ça devient trop, et on se rend compte qu'en essayant de maintenir un semblant de suspens, l'auteur se perd mais nous perd aussi.
Je n'avais pas vu non plus, qu'il s'agissait d'une trilogie, j'ai fait cet achat de manière impulsive après lecture du résumé. Mais quand au terme du premier tome, qui est quand même une petite brique, on se rend compte qu'il va falloir avaler deux autres volumes pour connaître l'épilogue, on se dit que finalement, on a peut-être pas envie d'aller aussi loin.
Je n'ai pas spécialement accroché avec les deux héros, ils sont trop bipolaires et beaucoup trop stéréotypés. J'ai apprécié le personnage du "dirlo" mais son intervention reste très limitée. Je le voyais un peu comme un sauveur, qu'il n'est finalement pas.
Bref, je dirais simplement que tout n'est pas à jeter dans ce roman, il y a de bonnes idées, des échanges intéressants mais pour moi, il manque d'espoir, d'empathie, et de spontanéité.
