C'est dans son édition de poche 10/18 du début des années 90, que j'ai lu le livre bouleversant de
Svetlana Alexievitch.
Il y était raconté l'indicible horreur de la guerre, pour la énième désespérante foi. Un de ces conflit où, en définitive, il n' y aura ni vainqueurs ni vaincus.
Pire: Une guerre atroce qui porte en germe les infamies futures des Talibans d' Afghanistan.
Des soldats qui reviennent perdus à jamais.
... Et ces Cercueils de zinc qui rapatriaient les corps de soldats envoyés dans l'intenable royaume de la peur et de la souffrance. Symboles d'une farce aussi vaine que tragique.
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