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Critique de Tbilissi
La découverte de cette fanfiction m'a enthousiasmée : toute ces années après, retrouver les personnages que j'ai tant aimé, quel bonheur !
On les retrouve exactement là où on les a laissé : après la terrible bataille de Poudlard.
J'ai aimé lire tout ce que j'avais pu imaginer : la petite enfance de Teddy (le fils de Remus Lupin et Nymphadora Tonks), les amours naissantes entre Ron et Hermione d'un côté et Harry et Ginny de l'autre, les débuts de cette dernière comme joueuse de quidditch professionnelle, la formation de Harry comme auror et les nouvelles amitiés qu'il se forge, l'altruisme dont fait preuve Hermione dans sa nouvelle carrière, la reconstruction de Poudlard, et surtout le deuil poignant de la famille Weasley après la mort de Fred, la douleur de Georges m'a beaucoup touchée, ainsi que l'abnégation de Ron qui décide de l'aider au magasin de farces et attrapes qu'il tenait avec son jumeau.
On note une évolution des mentalités, des rapprochements avec les moldus (on assiste même à l'improbable réapparition de Dudley Dursley) et surtout une dédiabolisation des serpentards.
J'ai apprécié ces portes ouvertes vers un univers moins manichéen.
Pourtant je reste sur un petit goût d'insatisfaction. En effet, une fois voldemort et son armée de mangemorts vaincus, il est difficile de créer une intrigue palpitante. le bonheur n'est pas quelque chose de passionnant à raconter, il faut le vivre et le savourer.
Et surtout la complicité du trio Harry-Ron-Hermione m'a cruellement manquée. Ou plutôt son côté fusionnel, car ils sont toujours très complices, mais happés par leurs obligations professionnelles, et la relation amoureuse entre Ron et Hermione a immanquablement modifié la dynamique de leur connivence. Harry se confie désormais davantage à Ginny, ce qui constitue une évolution naturelle de jeunes qui se construisent leur vie d'adulte, mais a généré une légère frustration à la fan que je suis.
Je lirai néanmoins les trois tomes suivants, ça ne fait aucun doute !
On les retrouve exactement là où on les a laissé : après la terrible bataille de Poudlard.
J'ai aimé lire tout ce que j'avais pu imaginer : la petite enfance de Teddy (le fils de Remus Lupin et Nymphadora Tonks), les amours naissantes entre Ron et Hermione d'un côté et Harry et Ginny de l'autre, les débuts de cette dernière comme joueuse de quidditch professionnelle, la formation de Harry comme auror et les nouvelles amitiés qu'il se forge, l'altruisme dont fait preuve Hermione dans sa nouvelle carrière, la reconstruction de Poudlard, et surtout le deuil poignant de la famille Weasley après la mort de Fred, la douleur de Georges m'a beaucoup touchée, ainsi que l'abnégation de Ron qui décide de l'aider au magasin de farces et attrapes qu'il tenait avec son jumeau.
On note une évolution des mentalités, des rapprochements avec les moldus (on assiste même à l'improbable réapparition de Dudley Dursley) et surtout une dédiabolisation des serpentards.
J'ai apprécié ces portes ouvertes vers un univers moins manichéen.
Pourtant je reste sur un petit goût d'insatisfaction. En effet, une fois voldemort et son armée de mangemorts vaincus, il est difficile de créer une intrigue palpitante. le bonheur n'est pas quelque chose de passionnant à raconter, il faut le vivre et le savourer.
Et surtout la complicité du trio Harry-Ron-Hermione m'a cruellement manquée. Ou plutôt son côté fusionnel, car ils sont toujours très complices, mais happés par leurs obligations professionnelles, et la relation amoureuse entre Ron et Hermione a immanquablement modifié la dynamique de leur connivence. Harry se confie désormais davantage à Ginny, ce qui constitue une évolution naturelle de jeunes qui se construisent leur vie d'adulte, mais a généré une légère frustration à la fan que je suis.
Je lirai néanmoins les trois tomes suivants, ça ne fait aucun doute !
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