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Critique de Kickou
Gotlib est mort ;-( ; Vive Gotlib :-). Comme beaucoup de héros (et même de super-zéros) de B.D., Gay Luron revit aujourd'hui sous les crayons d'autres artistes que son immortel papa : le grand, que dis-je l'incommensurable : Marcel Gotlib. Dans le tome 3 de ses nouvelles aventures, notre héros au sourire si doux et à l'énergie débordante, décide de se mettre à jour question technologie et modernité, vu qu'il a pris un peu de retard sur la concurrence (qu'on ne citera pas ici pour ne pas lui faire une publicité totalement abusive et complètement injustifiée). Donc Gay Luron (qui ne devrait pas tarder à conclure avec Belle Lurette) se lance à corps perdu, l'oeil vif, le poil brillant, l'esprit résolu et avec la détermination qui le caractérise et aussi avec son copain Jujube vers ... il se lance vers ; Ah flute ! J'ai oublié ... Ha oui, vers la modernité ... Vous savez, le numérique, le Oueb, Fesse-Bouc et tout ça quoi ! Mais là, faut que j'aille faire une petite sieste - je réprime présentement un bâillement intempestif -, avant, je vous dis juste que l'esprit du grand Marcel et de Fluide Glacial souffle, tel un ouragan qui passait par là, sur cet album d'Umour burlesque & désopilant. Allez, salut.
