Emporté par le premier volume du cycle, j'avais été très dubitatif quant au deuxième tome. J'avais donc (à l'époque) abordé le troisième tome avec quelques réserves. Vite balayées.
Ici, Anthony clôt sa saga en nous proposant ce qu'il sait faire de mieux, une science-fiction débridée, mélange de space-opera, de technologie et de quête. Il ne faut pas se leurrer non plus, l'auteur aborde maintes fois des sujets plus profonds, sous le couvert de la SF, comme les luttes sociales, la différence ou le rapport à autrui.
Bien que naturalisé américain, il flotte toujours un parfum sooooo British dans la manière de Piers Anthony d'aborder les rapports humains.
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