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Critique de bdelhausse


Un tome très plat, de nouveau très empreint de fleurs bleues et d'eau de rose... le premier chapitre voit tout le groupe se rendre à Rush Valley, en bordure des territoires en guerre, et où les réparateurs d'automails sont légions.

Edward Elric se fait voler sa montre gousset, insigne de son statut d'alchimiste d'Etat. On a droit à une cours-poursuite sympa, dessinée sobrement (ce qui est plutôt un point poisitif pour moi) et qui introduit un nouveau personnage féminin que je valide... J'achète dirait tel personnage de télé avec l'accent de son pays.

Cette voleuse est équipée d'automails de grande qualité. On fait donc un détour par son concepteur. Un type bougon qui semble avoir un oeuf à peler avec Pinako Rockbell. Mais on n'en saura pas davantage. On sort les mouchoirs une première fois en apprenant l'histoire émouvante de la voleuse, Paninya. Au passage on a une Winry éminemment moralisatrice qui n'en finit pas de dicter à tout le monde la manière dont ils devraient se comporter.

Côté dessin on rajoute une abondance de petites réflexions "comico-comiques" avec les petits crobars mal finis qui "vont bien avec". Il se dégae un côté résolument pré-ado de l'ensemble qui ne me convient et ne me convainc pas.

On enchaîne avec un accouchement. Sortez les mouchoirs bis. Puis les deux derniers chapitres (ce tome en compte 5 et pas de bonus, ce qui n'est pas dommage) se centrent sur les frères Elric, et on plonge dans le passé en découvrant un nouveau personnage féminin, Izumi, alchimiste elle aussi. Je valide de nouveau ce personnage féminin, intéressant, riche et cohérent. Mais on sort encore les mouchoirs quand elle ne peut "réparer" un chat mort. Et derechef on termine la boîte de mouchoirs et de guimauves... avec le dernier chapitre où apparaît la mère des frères Elric.

Bref, on tome dont sont absents les "grands méchants" de la série. Un tome avec plein de morceaux de bons sentiments dedans. On dirait qu'Hirumo Arakawa a choisi sa direction et l'atmosphère qu'elle veut donner à la série. Si le 6è tome confirme mon impression, je pense que je n'irai pas au bout...
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