Victoria-Hall

Des personnages conventionnels : le banquier forcément suisse, compétent en affaires et guindé dans sa vie familiale, sa femme forcément mondaine et aigrie, la jeune chanteuse lyrique au tempérament forcément de braise. Une intrigue prévisible avec happy end entre le lion d'âge mûr qui découvre l'amour et la future diva qui a besoin d'argent et de relations . Des villes dont on n'apprend rien, Genève cossue et discrète et Trieste poétique et ouverte au vent.
Bref. le scénario de départ était intéressant, entre l'antiquaire, le banquier, la lettre retrouvée et le marché auquel elle donne lieu, mais il n'en a pas été tiré grand chose.