Covenant, tome 5 : Sentinelle

- On va raconter notre histoire.
Inclinant la tête, Aiden m'embrassa tendrement, profondément, et avec tant d'amour que les larmes me montèrent aux yeux.
- C'est déjà fait.

« Survolant la foule des yeux, je croisai le regard d’un cadet sang-pur. Rien ne différenciait physiquement les purs des sang-mêlé, mais chacun d’entre nous avait l’habilité, un ton tordu des dieux, de sentir ce que nous étions. Il nous dévisageait comme s’il avait envie de nous séparer et de nous expliquer pendant des heures pourquoi nous ne devions pas nous tenir la main. »

- On fait la guerre pour le plaisir suprême qu'elle apporte, mais jamais pour s'emparer du pouvoir.
Euh... pardon ?

- Tu n'as jamais été plus belle à mes yeux qu'en cet instant.
- Il faut consulter un ophtalmo.

À moins qu'Arès ait une passion pour la maçonnerie, je doute qu'elle ait été réparée.

- Tu as le droit d’être colère, tu as le droit d’avoir peur, et tu as le droit de penser que c’est injuste, parce que ça l’était. Beaucoup de choses qui te sont arrivées sont injustes, mais celle-ci tout particulièrement. Ce qui s’est produit est un très gros problème, et tu dois t’autoriser à éprouver ces émotions.

Le contrôle absolu de leur avenir.

“Oh! You're one to talk!" I whirled on Apollo. "Seriously? If I was to Google 'irresponsible sexual activity', it would be your picture staring back at me!"
Apollo made a face at me—actually made a face at me like he was ten years old or something.”

“My jaw dropped open. “Holy crows…”

“There’s a couple of eagles mixed in there,” Luke commented.
"And a few hawks,” Aiden added.

I rolled my eyes. “Okay. Holy birds of prey! Is that better?”

“Much,” Aiden murmured.”

J’avais toujours pensé que les larmes accompagnées de sanglots qui vous secouent le corps étaient les pires, mais j’avais tort. Les larmes silencieuses meurtrissaient l’âme et semblaient ne jamais finir.