Innocence à crédit

Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture de 175 pages sur ma liseuse.
L'auteur nous livre ici sur fond de crime un questionnement et un problème moralisateur.
Avec beaucoup d'argent que ferions nous pour ne pas être accusé d'un crime. Serions nous prêts à faire accuser une autre personne avec des dédommagements importants?? C'est ce que ce roman va nous démontrer. Alors bien sûr c'est un peu barbant car c'est plus sûr le recrutement, le pourquoi, le comment et l'enquête du débit est laissé de côté.
Mais à la fin du livre et c'est très bien dit par l'auteur que ferions nous ???
Un lecture qui fait réfléchir mais comme je dis toujours ceci n'est que personnel.

Style d'écriture illisible...
Charabia juridique inapproprié...
Intrigue totalement farfelue...
Vocabulaire empoulé...
J'ai tenu péniblement jusque 40 pages avant le dénouement...
Abandonné !

Impossible de publier un commentaire à moins de 250 caractères !
Que vais-je bien pouvoir vous raconter à propos d'un tel roman sans aucun intérêt ?
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Étienne Liancourt est avocat d'affaires reconnu. Il va revêtir la robe pour plaider la cause de son ami d'enfance Marc Stenner qui lui demande un service. Tenter de comprendre pourquoi il n'est plus (ou pas suffisamment à son goût) sur le testament de son oncle qui a tout laissé à un pseudo aide-soignant. Une tâche qui s'annonce ardue mais qui va devenir quasi impossible lorsque Stenner se rend en Suisse à la rencontre du jeune héritier et que ladite rencontre se passe très mal. Stenner provoque un accident qui va changer la donne. Cette banale rencontre de conciliation va faire entrer Marc Stenner, galeriste parisien dans un monde inconnu et surréaliste, l'innocence à crédit. Étienne, son avocat est désormais pourvoyeur de coupable de substitution. Car la question est bien là. Si Marc ne veut pas endosser son crime, quelqu'un doit bien le faire pour lui, car la justice est en cours et la police à l'ouvrage. Tout peut être acheté ! Même la culpabilité d'un homme. Il suffit simplement de faire passer un casting, d'organiser les choses, de trouver le bon profil, de tout connaître de lui, de le mettre en situation, de le cerner et de remplacer son client. le cabinet Liancourt & Partners est passé maître en la matière. Si le client paie, tout est possible, même de rendre un coupable innocent et un innocent coupable. Bienvenue dans la défense 2.0, où l'innocence à crédit côtoie la Culpabilité Assistée par Ordinateur. Tout est possible ! Comment Marc Stenner va s'en sortir ? Pour connaître l'issue de cette affaire il faudra se plonger dans ce roman court, mais intense à la découverte de cette nouvelle forme de justice, heureusement fictive, espérons encore pour longtemps. Une intrigue tout en maîtrise. Un style descriptif des méthodes employées, des contraintes, des enjeux, tout en restant prenant et abordable. Des dialogues incisifs et une histoire bien menée jusqu'au bout. Une très belle découverte.
Lien : https://cafenoiretpolarsgour..

Nicolas Arpagian, auteur contemporain à la plume percutante, nous plonge dans l'univers captivant de son premier roman policier, « Innocence à Crédit ». Bien que court en nombre de pages, ce récit intense nous entraîne dans une exploration fascinante d'une forme de justice inédite, heureusement reléguée à l'univers de la fiction – du moins, espérons-le pour longtemps. Arpagian nous offre une intrigue d'une maîtrise remarquable, dévoilant un style descriptif qui expose avec précision les méthodes, les contraintes et les enjeux de cette nouvelle réalité judiciaire, tout en conservant un caractère prenant et accessible.

Le lecteur est ainsi invité à plonger au coeur d'une histoire où la frontière entre le réel et l'imaginaire s'amenuise, où les contours de la justice traditionnelle se dissolvent pour laisser place à une alternative intrigante. Tout en décrivant les subtilités de cette nouvelle forme de justice, Arpagian réussit le tour de force de maintenir une tension narrative constante, captivant son audience jusqu'à la dernière page.

« Innocence à Crédit » se distingue par la finesse de son exploration des méthodes employées dans ce système alternatif, mettant en lumière les subtilités et les complexités qui émergent lorsque la quête de la vérité se conjugue avec des règles du jeu inédites. L'auteur réussit à dépeindre les tenants et aboutissants avec une clarté remarquable, permettant au lecteur de s'immerger pleinement dans ce monde à la fois familier et étrangement nouveau.
Lien : https://rainfolk.com/2023/12..

J'avais trouvé le résumé de ce livre très intéressant .
Malheureusement, je n'y ai pas retrouvé ce que j'y attendais : une bonne histoire, un polar avec des rebondissements.
Non, l'auteur m'a perdue dans des considérations juridiques, technologiques, informatiques .
L'idée de départ aurait pu être développée avant la moitié du livre : ce n'est qu'à ce moment que j'ai compris ce qu'il se passait vraiment dans le cabinet d'avocat Liancourt. Mais ensuite, alors que j'espérais entrer dans le vif du sujet, j'ai été déçue.
A la fin, il reste quand même une impression dérangeante.

💥. Dans ce roman, je découvre la plume de Nicolas Arpagian que j'ai trouvé super!
.
💥. le style « roman policier » n'est pas ce que je lis le plus mais je dois admettre que celui-ci est bien ficeler
.
💥. Je ne peux que vous recommander la lecture de ce roman !

L'une des angoisses des enquêteurs ou des magistrats est d'envoyé un innocent en prison. Et si un jour cette innocence était commercialisée.

Dans ce polar fiction qu'est Innocence à CréditNicolas Arpagian nous entraîne dans l'univers d'un cabinet d'avocats d'affaires qui en arrière boutique à un commerce qui leur permet de s'arranger avec la vérité afin qu'elle se manifeste en exonérant les personnes aisés de leurs responsabilités tout en apaisant l'ordre social.
Outre une reflexion sur la morale et le droit on peut se poser la question de jusqu'où peut on aller pour de l'argent.

Nicolas Arpagian signe un premier roman très court, bien construit, dans un style vif et soutenu. Ce livre est aisé à lire si on est famillier du vocable juridique.

Pour finir je remercie les editions Mareuil de m'avoir fait confiance en m'envoyant ce livre pour le chroniquer.

L'idée de départ semblait intéressante mais s'est diluée dans une démarche de revendications sociétales. le Droit au nom du crime n'est pas une première et l'action se perd dans des conjectures administratives. La chute est d'autant plus surprenante qu'il n'y en a pas.