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Critique de pholi
Merci à Babélio et à Flammarion pour cette rencontre avec l'auteure.
Autant l'écrire tout de suite, je n'ai pas du tout accroché.
Une jeune femme de Melun-Sénart et un jeune homme Breton se rencontrent. Ils rêvent du Japon traditionnel afin de trouver leur voie dans la vie. Elle en Geisha et lui en Samouraï (mais en Yakuza à un certain moment. Quel rapport entre un criminel mafieux et un guerrier d'antan ?). Les deux héros s'aiment, se perdent de vue, se retrouvent au Japon après des « initiations » et pour finir poursuivent leurs vies à Saint-Brieuc.
La couverture du livre, de bon goût, et la quatrième de couverture attractive sont prometteuses. Quant au roman lui-même, il cherche sa voie parmi les bonsaïs, les Geishas, la prostitution, la mafia japonaise (alcoolisée) et les moines. Les composantes sont bien là, mais hélas les clichés aussi. le lecteur se promène dans une imagerie convenue. Je n'ai pas été « captée ».
La fin du roman est un « happy end » classique, extrêmement rapide (environ 12 pages, au regard des 100 premières pages qui « plantent le décor ») qui n'apporte rien de plus.
A la lecture de ce livre j'ai ressenti une lassitude venant d'une première partie trop longue ainsi que des descriptions livresques dans la seconde moitié du livre. Les références aux séries télé, le manque de rebondissements et de surprises entrainent ce ressenti.
L'écriture aurait gagné en dynamisme et en intérêt avec des descriptions moins longues, davantage de détails concernant les actions des personnages, un contexte plus solide et de l'originalité.
Autant l'écrire tout de suite, je n'ai pas du tout accroché.
Une jeune femme de Melun-Sénart et un jeune homme Breton se rencontrent. Ils rêvent du Japon traditionnel afin de trouver leur voie dans la vie. Elle en Geisha et lui en Samouraï (mais en Yakuza à un certain moment. Quel rapport entre un criminel mafieux et un guerrier d'antan ?). Les deux héros s'aiment, se perdent de vue, se retrouvent au Japon après des « initiations » et pour finir poursuivent leurs vies à Saint-Brieuc.
La couverture du livre, de bon goût, et la quatrième de couverture attractive sont prometteuses. Quant au roman lui-même, il cherche sa voie parmi les bonsaïs, les Geishas, la prostitution, la mafia japonaise (alcoolisée) et les moines. Les composantes sont bien là, mais hélas les clichés aussi. le lecteur se promène dans une imagerie convenue. Je n'ai pas été « captée ».
La fin du roman est un « happy end » classique, extrêmement rapide (environ 12 pages, au regard des 100 premières pages qui « plantent le décor ») qui n'apporte rien de plus.
A la lecture de ce livre j'ai ressenti une lassitude venant d'une première partie trop longue ainsi que des descriptions livresques dans la seconde moitié du livre. Les références aux séries télé, le manque de rebondissements et de surprises entrainent ce ressenti.
L'écriture aurait gagné en dynamisme et en intérêt avec des descriptions moins longues, davantage de détails concernant les actions des personnages, un contexte plus solide et de l'originalité.
