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Critique de Berelex
Si il y a une chose qui transparait avec ce récit, c'est bien la marque que David Gemmell a laissé sur Stephen Aryan. On y suit une guerre ou une nation doit faire face faire face à une offensive supérieure en nombre, mais grâce aux conseils d'un vétéran et à l'aide d'un groupe de magiciens...
Personnellement, j'ai beaucoup apprécié ce livre : non seulement les personnages sont attachants, surtout Vargus, mais il arrive à nous faire ressentir que malgré les différentes victoires, ils sont en train de perdre... Et c'est à partir de ce constat là (à peu près à la moitié du livre) que tous les personnages sont bien plus développés, notamment les méchants (eh oui, on retrouve même le manichéisme gemmellien, une méchanceté expliquée mais assumée). Les scènes de batailles sont quant à elles très bien décrites, grandioses même pour certaines (le combat d'Ecko) avec une volonté de doner au lecteur une représentation visuelle de la scène, avec toutes les angoisses passagères qu'ils peuvent éprouver. Mais surtout, ce qui m'a marqué c'est cet univers complexe où le vin d'un pays ennemi n'est pas autorisée, et la façon subtile qu'il a de nous montrer tous les fils qui régissent son univers au cours du livre (qui peut d'ailleurs se lire comme un one-shot). C'est pour moi un grand coup de coeur, et je compte bien m'attaquer à la suite dès sa parution.
Personnellement, j'ai beaucoup apprécié ce livre : non seulement les personnages sont attachants, surtout Vargus, mais il arrive à nous faire ressentir que malgré les différentes victoires, ils sont en train de perdre... Et c'est à partir de ce constat là (à peu près à la moitié du livre) que tous les personnages sont bien plus développés, notamment les méchants (eh oui, on retrouve même le manichéisme gemmellien, une méchanceté expliquée mais assumée). Les scènes de batailles sont quant à elles très bien décrites, grandioses même pour certaines (le combat d'Ecko) avec une volonté de doner au lecteur une représentation visuelle de la scène, avec toutes les angoisses passagères qu'ils peuvent éprouver. Mais surtout, ce qui m'a marqué c'est cet univers complexe où le vin d'un pays ennemi n'est pas autorisée, et la façon subtile qu'il a de nous montrer tous les fils qui régissent son univers au cours du livre (qui peut d'ailleurs se lire comme un one-shot). C'est pour moi un grand coup de coeur, et je compte bien m'attaquer à la suite dès sa parution.
