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Critique de Lesvoyagesdely
L'adaptation continue à être de toute beauté, et nous entraîner avec elle. En aucun cas, je n'ai l'impression que c'est précipité, on se prend bien le temps de développer chaque arc, et ça fait plaisir, on rend ainsi un bel hommage à cette histoire, et c'est l'occasion de la redécouvrir ou de la faire découvrir dans une version qui sait nous charmer, le tout sublimée par le trait graphique d'Aurore.
Lizzy fait joliment la couverture de ce tome. Elle a choisit sa liberté, plutôt que la raison, sa mère offensée lui en fait payer le prix. Jane est dans une situation douloureuse, mais n'y peut rien.
Voilà, nos deux soeurs Bennet dans de fâcheuses postures. Heureusement, elles vont pouvoir aller ailleurs, prendre l'air, se ressourcer, récupérer des forces, leurs esprits, s'éloigner de leur mère.
Malheureusement pour leur père, ses deux filles préférées seront loin de lui. Il est dommage qu'à part ses remarques cinglantes sur ses autres filles, il ne tente pas de mieux les éduquer, d'être présent pour elles, surtout les deux qui nous font le plus peur : Catherine et Lydia, qui pourrait bien se faire avoir.
Il est très agréable de faire la connaissance des Gardiner, l'oncle et la tante de ces jeunes femmes, qui vont emmener Jane à Londres pour lui faire oublier sa mésaventure.
De son côté, Elizabeth va se rendre à Hunsford, ce qui lui permettra de passer du temps et retrouver son amie Charlotte, de voir si sa nouvelle vie maritale lui plaît et convient.
Par la même occasion, elle va rencontrer Lady Catherine de Bourgh dont son cousin ne cesse de lui vanter les mérites, la gentillesse. Une grande dame qui nous partage avec sa façon d'aider un peu aux limites, ses conseils qui ressemblent à des exigences.
C'est aussi ce passage là qui donne son sous titre à l'album : Rosings Park. Un endroit qui éblouira assurément vos yeux.
Par la même occasion, cela laissera à Lizzy l'occasion de revoir ce cher Mr Darcy et le Colonel Fitzwilliam. Avec Darcy, c'est toujours aussi épique. de manière générale, Lizzy ne garde pas sa langue dans sa poche.
A différents moments, des personnages s'écrivent des lettres, le tout est très joliment mis en scène, en plus avec un ruban rouge qui traverse la page.
Les liens se font et de défont, des secrets se révèlent.
La prochaine fois, nous irons à Pemberley, autant dire que nous avons hâte de découvrir cette demeure, et comment Aurore va nous la mettre magnifiquement en scène.
Une bande dessinée fortement conseillée, pour enchanter tous vos sens, sur une histoire vue et revue, dont on ne se lasse pas, et si le jeu n'est plus le même, conserver son libre arbitre, sa liberté, ses choix, le respect, eux restent importants.
Lizzy fait joliment la couverture de ce tome. Elle a choisit sa liberté, plutôt que la raison, sa mère offensée lui en fait payer le prix. Jane est dans une situation douloureuse, mais n'y peut rien.
Voilà, nos deux soeurs Bennet dans de fâcheuses postures. Heureusement, elles vont pouvoir aller ailleurs, prendre l'air, se ressourcer, récupérer des forces, leurs esprits, s'éloigner de leur mère.
Malheureusement pour leur père, ses deux filles préférées seront loin de lui. Il est dommage qu'à part ses remarques cinglantes sur ses autres filles, il ne tente pas de mieux les éduquer, d'être présent pour elles, surtout les deux qui nous font le plus peur : Catherine et Lydia, qui pourrait bien se faire avoir.
Il est très agréable de faire la connaissance des Gardiner, l'oncle et la tante de ces jeunes femmes, qui vont emmener Jane à Londres pour lui faire oublier sa mésaventure.
De son côté, Elizabeth va se rendre à Hunsford, ce qui lui permettra de passer du temps et retrouver son amie Charlotte, de voir si sa nouvelle vie maritale lui plaît et convient.
Par la même occasion, elle va rencontrer Lady Catherine de Bourgh dont son cousin ne cesse de lui vanter les mérites, la gentillesse. Une grande dame qui nous partage avec sa façon d'aider un peu aux limites, ses conseils qui ressemblent à des exigences.
C'est aussi ce passage là qui donne son sous titre à l'album : Rosings Park. Un endroit qui éblouira assurément vos yeux.
Par la même occasion, cela laissera à Lizzy l'occasion de revoir ce cher Mr Darcy et le Colonel Fitzwilliam. Avec Darcy, c'est toujours aussi épique. de manière générale, Lizzy ne garde pas sa langue dans sa poche.
A différents moments, des personnages s'écrivent des lettres, le tout est très joliment mis en scène, en plus avec un ruban rouge qui traverse la page.
Les liens se font et de défont, des secrets se révèlent.
La prochaine fois, nous irons à Pemberley, autant dire que nous avons hâte de découvrir cette demeure, et comment Aurore va nous la mettre magnifiquement en scène.
Une bande dessinée fortement conseillée, pour enchanter tous vos sens, sur une histoire vue et revue, dont on ne se lasse pas, et si le jeu n'est plus le même, conserver son libre arbitre, sa liberté, ses choix, le respect, eux restent importants.
