Ça commence mal. Pourquoi se sentir obligé de débuter ce genre de recueil par une préface ? Pourquoi l'auteur (ici, les auteurs) de la dite préface se sent-il obligé de répondre à l'appel alors qu'il n'a visiblement rien à dire d'intéressant sur le sujet et qu'il n'a pas envie d'écrire sur le sujet.
voilà un recueil qui est loin de m'avoir emballé. Seuls trois textes ont retenu mon attention : La Chose du lac de
Laurence Suhner, « Et pleurer, comme Alexandre » de
Neil Gaiman et La Fin de Léthé de
Claude Ecken. Pour les autres, ils n'ont pas su me captiver. Et ce ne sont pas ces textes-là qui m'ont donné envie de découvrir ces auteurs. Dommage, c'est pourtant, en théorie, l'idée sous-jacente à ce genre de publication. Qui a sélectionné ces textes ? Qui les a relus avant de les envoyer à l'imprimeur ?
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