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Critique de umezzu
Mes yeux se sont posés sur la couverture de cet épisode, lu et relu, et je l'ai repris en main une fois de plus. Non pas pour Lady S en petite tenue accrochée à la paroi de son hôtel, mais pour l'arrière plan : Lisbonne, que j'ai découvert il y a quelques semaines.
Et du coup, au delà du très bon scénario de van Hamme - ce tome est un des meilleurs de la série, j'ai revisité en détail les vignettes de Aymond. D'une grande qualité, très réaliste, le dessin de Aymond est aussi fouillé en terme de vues et de détails. Ici, quelques pages ayant pour décor Lisbonne sont très réussies : une superbe vue d'avion en page 17 avec la plaça do Comercio, un panorama du castelo Sao Jorge et de sa colline en page 19, et surtout les scènes finales dans le Bairro Alto avec le célèbre tramway. Aymond multiplie les cadrages cinématographiques qui accélèrent le rythme la BD.
L'intrigue joue sur un projet terroriste contrecarré par Orion, et une fois n'est pas coutume une alliance temporaire CIA-FSB. Ces derniers sont au Portugal d'abord et avant tout pour récupérer le père biologique de Shania, le professeur Rivkas, que l'on croyait mort et qui a réussi à s'enfuir de Russie.
Un vrai plaisir cette BD, quarante huit pages d'action sur fond d'espionnage et de géopolitique.
Et du coup, au delà du très bon scénario de van Hamme - ce tome est un des meilleurs de la série, j'ai revisité en détail les vignettes de Aymond. D'une grande qualité, très réaliste, le dessin de Aymond est aussi fouillé en terme de vues et de détails. Ici, quelques pages ayant pour décor Lisbonne sont très réussies : une superbe vue d'avion en page 17 avec la plaça do Comercio, un panorama du castelo Sao Jorge et de sa colline en page 19, et surtout les scènes finales dans le Bairro Alto avec le célèbre tramway. Aymond multiplie les cadrages cinématographiques qui accélèrent le rythme la BD.
L'intrigue joue sur un projet terroriste contrecarré par Orion, et une fois n'est pas coutume une alliance temporaire CIA-FSB. Ces derniers sont au Portugal d'abord et avant tout pour récupérer le père biologique de Shania, le professeur Rivkas, que l'on croyait mort et qui a réussi à s'enfuir de Russie.
Un vrai plaisir cette BD, quarante huit pages d'action sur fond d'espionnage et de géopolitique.
