Enrico Baj persiste à persifler. Peintre milanais pour qui écrivirent André Breton, Raymond Queneau ou Umberto Eco, il revient muni des dernières nouvelles du monde de la clinquaille hors de prix, de la galaxie des galeries à millions, des avant-gardes qui courent les avant-premières des musées puissants et des artistes jet-settants. C’est de l’intérieur qu’il parle, qu’il soit cruel, souriant ou partagé. Et c’est en peintre qu’il traite des Mao magenta de Warhol, d... >Voir plus