Bajram n'a pas peur de faire dans le grandiose, il n'hésite pas à se lancer dans la complexité des paradoxes temporels, des défis scientifiques, avec un soupçon de grandiloquence qui ne tombe jamais dans le pompeux, il en joue et c'est parfaitement maîtrisé, il ne reste plus qu'à espérer que ça se maintienne jusqu'au bout. Ce second tome se conclut par un point d'orgue comme d'habitude. Sacré série !
Commenter  J’apprécie         161