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Critique de Livrescapades
Anna-Marie Caravelle, 24 ans, se décrit comme une affreuse rouquine, une marginale, une paria comme il en existe des milliers d'autres. Effrayante mais pas monstrueuse. Une nuit, assise par terre en face du Panthéon, elle décide d'écrire sa confession.
Témoignage percutant et nécessaire d'une vie faite d'abandon et de précarité, de solitude et de folie, Un sac est un roman d'une grande noirceur qui ne laisse présager que peu, voire pas du tout d'espoir. Et pourtant malgré son absence de perspectives heureuses et sa violence, il touche, émeut et suscite de l'empathie pour cette jeune femme dont la vie misérable est en sursis depuis sa naissance et qui par la force des choses s'est "construite à l'envers".
Si j'ai anticipé certains événements et deviné ce qui se cachait dans le sac, je n'en ai pas été gênée tant j'ai été captivée par l'écriture fluide, incisive et terriblement efficace de Solène Bakowski !
Thriller addictif lu en quelques heures. Une belle découverte !
Témoignage percutant et nécessaire d'une vie faite d'abandon et de précarité, de solitude et de folie, Un sac est un roman d'une grande noirceur qui ne laisse présager que peu, voire pas du tout d'espoir. Et pourtant malgré son absence de perspectives heureuses et sa violence, il touche, émeut et suscite de l'empathie pour cette jeune femme dont la vie misérable est en sursis depuis sa naissance et qui par la force des choses s'est "construite à l'envers".
Si j'ai anticipé certains événements et deviné ce qui se cachait dans le sac, je n'en ai pas été gênée tant j'ai été captivée par l'écriture fluide, incisive et terriblement efficace de Solène Bakowski !
Thriller addictif lu en quelques heures. Une belle découverte !
