Un petit portrait vaut parfois mieux qu'un long discours - et dans le cas de
Pierre Grassou, peintre médiocre, un mauvais portrait bien rémunéré vaut mieux qu'un talent d'artiste crève la faim.
En peu de mots,
Balzac nous peint le personnage de l'artiste vendu au système, peignant à la chaîne de vilaines toiles pour des clients dénués de goût mais fortunés, sans autre ambition que de vulgaires envies bourgeoises de confort. Un portrait qui n'a pas pris une ride!
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