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Critique de Libellule41
Catherine Banner plante ici le décor d'un roman très agréable à lire.
Un lieu enchanteur sur la petite île sicilienne de Castellamare, à quelques encablures au large de Syracuse.
Une maison qu'un jour, au début du siècle dernier, un jeune médecin venu de Florence acquit "pour le meilleur et pour le pire".
Un bar où la vie de la famille d'Amadeo Esposito s'écoule avec ses "hauts et ses bas", et qui, un jour pendant la 2ème guerre mondiale, accueille dans ses rangs un jeune anglais échoué là par hasard.
Une île où cohabitent le "vieux monde", empreint de religiosité, de légendes, de malédictions, de miracles de superstitions, et la modernité naissante de l'après guerre.
Un lieu où ceux qui sont partis avec leurs rêves "d'ailleurs", reviennent toujours.
Une lecture facile et très plaisante.
Un lieu enchanteur sur la petite île sicilienne de Castellamare, à quelques encablures au large de Syracuse.
Une maison qu'un jour, au début du siècle dernier, un jeune médecin venu de Florence acquit "pour le meilleur et pour le pire".
Un bar où la vie de la famille d'Amadeo Esposito s'écoule avec ses "hauts et ses bas", et qui, un jour pendant la 2ème guerre mondiale, accueille dans ses rangs un jeune anglais échoué là par hasard.
Une île où cohabitent le "vieux monde", empreint de religiosité, de légendes, de malédictions, de miracles de superstitions, et la modernité naissante de l'après guerre.
Un lieu où ceux qui sont partis avec leurs rêves "d'ailleurs", reviennent toujours.
Une lecture facile et très plaisante.
